AccueilCinémaTous les filmsFilms ActionEverything Everywhere All at Once
Everything Everywhere All at Once
note moyenne
3,5
7474 notesEn savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Everything Everywhere All at Once ?
Rédiger ma critique
735 critiques spectateurs
5 4 3 2 1 0
Trier par
Critiques les plus utiles
- Critiques les plus récentes
- Par les membres ayant fait le plus de critiques
- Par les membres ayant le plus d'abonnés
Ufuk K
386 abonnés1 259 critiquesSuivre son activité
2,0
Publiée le 4 septembre 2022
"Everything Everywhere All at Once" beau succès commercial aux Etats-Unis, assez bien noté par la presse et les spectateurs est un film qui a finit par me lasser gravement .En effet en dépit d'un mélange des genres audacieux (la chronique sociale, science fiction et action), un casting costaud ( Michelle Yeoh ,Jamie Lee Curtis) des idées originales, j'ai fini par complétement décroché durant la seconde partie , l'histoire part dans tous les sens, trop longue (2h19) j'ai perdu complétement l'intérêt peu à peu pour ce film.
8624

October70
8 abonnés53 critiquesSuivre son activité
0,5
Publiée le 31 août 2022
Je n'ai pas accroché. Du tout. Et pourtant l'idée m'intéressait beaucoup.
Au vu des critiques dithyrambiques que j'ai lu, j'ai l'impression que soit on adore, soit on déteste. Je fais malheureusement parti de la seconde tranche tellement "j'ai" trouvé cela brouillon voire bordélique. Dommage, j'aurais aimé aimer :)
13941
Jorik V
1 067 abonnés1 909 critiquesSuivre son activité
2,0
Publiée le 12 avril 2022
Oui, c’est une histoire complètement dingue, originale et pour ainsi dire jamais vue qui nous est proposée ici. Encore oui, ce film souffle un grand vent de fraîcheur et de nouveauté dans le paysage cinématographique hollywoodien formaté, lassant et aseptisé (et c’est encore une production de A24, la boîte qui monte). Une nouvelle fois oui, cette œuvre est bourrée de qualités indéniables, tant sur le versant narratif que le versant visuel, avec quasiment une idée à chaque plan. Toujours oui, on a droit à une sacrée dose de séquences inimaginables, inattendues et complètement folles, pour certaines d’ailleurs amenées à devenir cultes. Et enfin oui, il est compréhensible que « Tout, partout, tout à la fois » soit générateur d’un gros buzz actuellement et qu’il soit mis aux nues avec un excellent bouche-à-oreille. C’est indéniable et mérité dans le fond, quoiqu’un peu excessif tout de même. Mais surtout oui, il est possible de ne pas l’apprécier... Pire même, de souhaiter que ce film, devenant de plus en plus un calvaire sensitif au fur et à mesure qu’il avance, vienne à vite se terminer.
En effet, il est fort probable que ce long-métrage scinde son audimat en deux. Entre ceux qui vont adorer et le qualifier de chef-d’œuvre et ceux qui vont le détester, passer à côté ou tout simplement ne pas adhérer à cette proposition de cinéma pourtant stimulante et totalement inédite. Une proposition qui ne ressemble à rien, bien qu’elle se veuille ludique mais pas forcément fédératrice et faite pour tous non plus. D’ailleurs, beaucoup de ceux qui n’aimeraient pas risquent de ne même pas se déplacer rien qu’à la lecture du synopsis, ce qui peut expliquer aussi l’emballement général de spectateurs déjà acquis à ce type d’OVNI cinématographique. Avec « Tout, partout, tout à la fois » on est donc dans le domaine de l’inclassable, prenant pour socle le concept du multivers et donc des réalités alternatives. Et pourtant rien à voir avec le Marvel Cinematic Universe. Le film jongle entre comédie, science-fiction, films d’arts martiaux, drame familial et social dans un énorme (près de deux heures et trente minutes) pot-pourri difficilement digérable. En sortant de la projection on a presque mal à la tête avec cet incessant vacarme visuel et sonore. C’est assourdissant, fatigant et cela devient de plus en plus éreintant à la longue. Le film nous met KO et la dernière heure en devient même pénible si l’on n’est pas client.
C’est dommage car le concept est indéniablement bon. Et admirer des actrices de cet âge comme Michelle Yeoh et Jamie Lee Curtis, mises en avant dans de tels rôles et s’amuser dans un film si fou, a quelque chose de jubilatoire. Mais il faut s’accrocher. Le concept du multivers est déjà quelque peu complexe mais ici les Daniel (du surnom de ce duo de réalisateurs s’étant fait connaître avec le tout aussi perché « Swiss Army Man ») ne tentent jamais de la vulgariser. Pire, ils complexifient leur intrigue d’une foultitude de détails et de développements plus ou moins ardus qu’on n’a même pas le temps d’assimiler tellement ils confondent rythme et précipitation. Le film part dans tous les sens mais laisse souvent le spectateur à quai dans ces délires. Pourtant, il y a des scènes géniales, pleine d’idées incroyables voire très osées (on n’en dira pas plus pour laisser la surprise). Mais on ne peut les apprécier à leur juste valeur tellement elles sont noyées dans un fatras et un bruit continuel et perpétuel. On pense par exemple aux séquences avec les pierres, très drôles, ou au premier affrontement plein d’inventivité entre l’itération maléfique de la gamine et des gens de la sécurité. Entre le jeu de rôle et le jeu vidéo, « Tout, partout, tout à la fois » ne lésine pas sur l’action à tel point que l’émotion, pourtant présente, est enterrée sous le poids de cet incessant brouhaha narratif et formel qui confine presque à de l’épilepsie sur grand écran. « Haute tension » passerait presque pour un film du neurasthénique à côté c’est dire! Frustrant de voir une œuvre si originale et maîtrisée dans son propos se révéler presque déplaisante et fatigante à force d’avancées nébuleuses et de ne jamais laisser souffler son spectateur. Pour public averti!
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
7528

RedArrow
1 299 abonnés1 418 critiquesSuivre son activité
5,0
Publiée le 18 mai 2022
Là, c'est rare, mais les mots me manqueraient presque... J'en arrive même à me dire que je pourrais arrêter mon année cinéma là-dessus tant on est à un stade où beaucoup de choses ne peuvent paraître qu'insipides après un film pareil.
Ayant adoré "Swiss Army Man" de ces mêmes Dan Kwan & Daniel Scheinert, c'était un long-métrage que j'attendais tout particulièrement, avec la peur évidemment que la hype suscitée autour de lui outre-Atlantique ne soit pas complètement à la hauteur de mes espérances... Eh bien, non seulement "Everything Everywhere All At Once" l'a été mais il en a atomisé le seuil pour aller au-delà dans des proportions que je n'aurais jamais pu soupçonner.
Le plus grand tour de force du film est finalement de débuter par quelque chose d'extrêmement simple en apparence, l'état de surmenage de son héroïne dont le quotidien chaotique nous est décrit en quelques minutes, pour nous entraîner dans la plus folle des expériences de Multivers jamais décrite au cinéma (autant dire que le Docteur Strange est KO au premier round, sorti sur civière et enroulé dans sa cape). D'un point de vue visuel, j'ai l'impression d'avoir vu tout ce qu'un arc-en-ciel cinématographique est capable de produire de mieux, de plus inventif et de plus barré pour retranscrire cet enchevêtrement infini de mondes géniaux dans lequel Michelle Yeoh se retrouve propulsée en tant que superhéroïne malgré elle et dont le fonctionnement ne cesse de révéler toutes ses subtilités pour notre plus grand plaisir. Je meurs déjà d'envie de le revoir par la profusion de plans et de scènes dingues que ma mémoire prend un malin plaisir à raviver dans le désordre, les nombreux éclats de rire devant l'absurdité de moments amenés à devenir cultes à mes yeux (je ne me remettrai jamais de la "danse des doigts" ou de Raccaccounie) ou encore les superbes moments d'émotion que le film construit sur la durée et qu'il base sur le relationnel en perpétuelle évolution de ses excellents personnages amenés à se (re)découvrir réellement.
"Everything Everywhere All At Once" part en effet peut-être d'un postulat simple autour du rôle de son incroyable actrice principale mais, grâce aux tunnels de regrets et d'erreurs passés (et de n'importe quoi hilarant aussi) représentés par le Multivers qui l'emporte, il exalte de ce personnage toute la complexité de ses sentiments et non-dits refoulés, issus de tant d'années de frustration, pour enfin peut-être lui ouvrir les yeux et la guérir au sein de la plus déjantée des odyssées intérieures/interdimensionnelles qu'il m'ait été donné de voir..
Ce sera sans doute là ma claque de 2022. Je ne vois honnêtement pas ce qui pourra battre ça. C'est unique, fou, brillant... À voir absolument.
12869
Hélène D.
23 abonnés69 critiquesSuivre son activité
0,5
Publiée le 4 septembre 2022
Ce film est un navet. Pas drôle, vulgaire, des acteurs sans charisme. Je ne comprend pas l’engouement pour ce film. L’idée de multivers est bonne mais très mal exploitée. Ça part dans tous les sens. Trop d’images . Ce film est pénible à regarder. Les idées de doigts saucisse , de plug anal, de donut géant …. Du grand n’importe quoi! Ne vous faites pas avoir par cette arnaque.
7946

🎬 RENGER 📼
4 272 abonnés6 923 critiquesSuivre son activité
1,0
Publiée le 8 septembre 2022
Evelyn Wang est à bout, elle ne comprend plus sa famille, est dépassée par son travail et croule sous les impôts. Jusqu’au jour où elle découvre le multivers et ses mondes parallèles (avec toutes les vies qu’elle aurait pu mener).
Après l’histoire du cadavre pétomane dans Swiss Army Man (2016), les deux Daniels se retrouvent pour la seconde fois derrière la caméra avec cette comédie science-fictionnelle, mêlant humour & action où il est question de multivers sur fond de fossé générationnel.
Découpé en 3 chapitres ("Everything", "Everywhere" & "All At Once"), le film est clairement à ne pas mettre en toutes les mains tant ce dernier s’avère à la fois épuisant, WTF & foutrement bordélique. Depuis que le film est sorti en salles aux States il y a 5 mois, il y a eu une telle hype autour de lui que cela en devenait suspicieux, trop de hype et trop d’attente suscité par un film, c’est bien souvent la douche froide à l’arrivée (le dernier en date c’était pour Prisoners of the Ghostland - 2021). Sans réelle surprise, après avoir survécu (ou supporté) les 140 minutes que compte le film, je me demande encore ce qui a bien pu causer un tel engouement envers les spectateurs…
Daniel Scheinert & Daniel Kwan nous entraîne dans un délire foutraque à vous retourner le cerveau, tout va trop vite, on a à peine le temps de digérer une scène, que l’on est déjà dans la suivante ou celle d’après. Les références sont nombreuses mais s’en retrouvent noyées dans ce high-concept qui devient rapidement trop bourratif. Les réalisateurs en font des caisses et rares sont les fois où l’on y adhère, résultat, je suis resté hermétique à leur humour où pêle-mêle on y retrouve des trophées plug anaux, les nunchakus godemichés, des lesbiennes affublées de doigts-saucisses (vous l’avez, vous aussi la référence phallique ? Que c’est drôle :ironie:), Ratontouille (la version raton-laveur de Ratatouille), un bagel cosmique ou encore des pierres dotées d'une conscience...
Tout ça en devient rapidement épuisant et c’est bien regrettable face à une Jamie Lee Curtis aussi délirante. A aucun moment je n’aurai réussi à rentrer dans le film, à m’attacher aux personnages et à adhérer au type d’humour, visiblement je n’étais pas la cible ou alors je suis trop vieux pour ces conneries… et surtout trop réfractaire au multivers.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
178
Yves G.
1 011 abonnés 2 980 critiquesSuivre son activité
1,5
Publiée le 4 septembre 2022
Evelyn Wang (Michelle Yeoh) est épuisée. Epuisée par la laverie automatique qu’elle doit gérer et par le contrôle fiscal qu’elle subit. Epuisée par sa famille : son père grabataire, sa fille unique, Joy, qui vient de faire son coming out, et son mari Waymond qui est sur le point de la quitter.
Mais la vie de Evelyn bascule brutalement lorsque, dans l’immeuble des impôts où elle subit un interrogatoire humiliant avec une inspectrice revêche (Jamie Lee Curtis), elle se retrouve plongée dans le multiverse. Dans ces univers parallèles, hantés par une puissance démoniaque qui a pris possession du corps de sa fille, Evelyn découvre la multiplicité de destins qu’elle aurait pu avoir si elle avait fait des choix de vie différents : championne de kung-fu, star de cinéma, cheffe dans un restaurant gastronomique ou encore lesbienne avec des hot dogs à la place des doigts (sic)
"Everything Everywhere All at Once" nous vient des Etats-Unis où il a fait un tabac au box-office précédé d’une réputation flatteuse et méritée. Car EEAOT – comme l’appelent déjà les fans de ce film qui, à n’en pas douter, deviendra culte – a une sacrée ambition. Comme "Eternal Sunshine of the Spotless Mind", comme "Matrix", comme désormais la plupart des grands blockbusters américains (la franchise "X-Men", "Superman", etc.), EEAOT joue à saute-moutons d’un univers à un autre, au risque parfois d’y paumer le spectateur. Les jeunes adorent ce zapping épileptique et les plus âgés trouvent leur compte à cette histoire touchante.
Le problème, le gros problème de EEAOT est que cette débauche d’effets spéciaux, cette imagination débordante, sont mises au service d’une thèse affligeante : le sempiternel bonheur familial qui passe, pour Evelyn, comme de bien entendu, et sans rien spoiler à un scénario cousu de fil blanc, par sa triple réconciliation avec son père, son mari et sa fille. Certes, me direz-vous "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" était, tout bien considéré une comédie romantique un peu niaise ; et "Matrix" la parabole philosophique boursouflée de la Caverne de Platon. EEAOT est donc de la même farine.
C’est ici, une fois cette prémisse posée et EEAOT, ESSM et "Matrix" mis dans le même sac, que dans notre petit multiverse cinématographique s’ouvre à nous, amis cinéphiles, deux options logiques : soit hisser ces trois films là dans notre panthéon cinématographique, malgré leur morale un peu niaise ; soit au contraire, au risque d’un sévère déclassement des deux premiers, les reléguer du piédestal où tous les palmarès les ont déjà hissés.
À vous de choisir !
178

henri M.
5 abonnés7 critiquesSuivre son activité
0,5
Publiée le 6 septembre 2022
j'ai rarement vu une escroquerie pareille film incompréhensible les 2h15 m'ont semblée littéralement interminable, l'histoire le scenario sont inexistants, à fuir !!
5521

Acidus
491 abonnés3 518 critiquesSuivre son activité
5,0
Publiée le 4 juillet 2022
Là où un Marvel use du concept d'un multivers à travers une série de films formatées, sans âme ni saveurs, "Everything Everywhere All at Once" ose la différence. Et ça fait un bien fou !
En plus d'être original, ce long métrage joue sur de nombreux tableaux et peut se faire à la fois drôle, poétique, tendre, survitaminé, décalé avec toujours cette intelligence dans l'écriture et dans la mise en scène. En le visionnant, j'ai pensé au "Millennium Actress" de Satoshi Kon ou au "Mr. Nobody" Jaco Van Dormael dont, je trouve, il partage un esprit commun.
Un sans faute pour ma part. Les deux Daniel ont su m'embarquer dès les premières secondes pour un extraordinaire voyage qui a pris malheureusement fin avec le générique. Chapeau !
6845
Philippe G.
100 abonnés509 critiquesSuivre son activité
0,5
Publiée le 13 septembre 2022
Ça fait au moins 20 ans que je n'ai pas quitté un film au bout de 55 minutes. Non seulement c'est horriblement mal filmé, mais aussi cheap. On sent le manque flagrant de budget. Reste le mystère numéro un : pourquoi cet engouement, y compris critique, devant un tel Waterloo - très ennuyeux en plus ?
4931

Laurent Grim
2 abonnés7 critiquesSuivre son activité
0,5
Publiée le 12 septembre 2022
J'aurais dû lire les critiques négatives, mais je me suis laissé berner. Pourtant je m'étais promis de ne plus aller voir un film bien noté par les pros, 9 fois sur 10, ce sont des navets. Ce film est dingue et je n'ai strictement rien compris. C'est une comédie, mais je n'ai pas ri une seconde. Le jeu d'acteurs est pas mal, mais le scénario a été pondu pas des gens totalement tordus. Plusieurs personnes sont sorties avant la fin et nous avons tenu en espérant une fin intéressante, mais même pas. Vraiment je ne comprends cette note globale.
5518

LALALALALERE
10 abonnés193 critiquesSuivre son activité
0,5
Publiée le 13 mars 2023
Bon, Michelle Yeoh découvre qu'elle est plein de personnes. Elle fait des cris de hyène quand elle va à un rendez-vous avec Jamie Lee Curtis déguisée en boudin. So what ? Le film s'étire et on perd tout intérêt à suivre cette histoire. Un navet comme on va en faire.
71

OSC4R _
58 abonnés54 critiquesSuivre son activité
0,5
Publiée le 4 septembre 2022
C’est la première fois qu’au cinéma je m’ennuie au bout d’une minute de visionnage.
J’ai sincèrement haï chaque instant du film.
La mise en scène est inexistante quand il s’agit de faire autre chose que pomper Tarantino, Wright, Matrix ou même Kung-Fu Panda. Évidemment ils se sont inspirés eux mêmes de leurs modèles, de leurs maîtres, mais en y apportant toujours quelque chose, quelque chose de nouveau, de personnel. Everything everywhere all at once n’est qu’une purée immonde de ce qui fait le cinéma d’action et de science-fiction moderne. Prévisible de bout en bout en bout, c’est un réel calvaire. Rien n’est à garder. Cliché. Ridicule. Jamais drôle. Prétentieux. J’ai compté chaque minute me précédant du générique.
4530
isarno
3 abonnés51 critiquesSuivre son activité
0,5
Publiée le 14 septembre 2022
sans aucun doute le plus mauvais film qu'il m'ait été donné de voir au cinéma. une bande annonce qui donne envie d'en voir plus, mais la réalité du film donne envie d'en voir moins. j'ai même tellement eu envie que j'ai quitté la salle au milieu du film. violence gratuite, scénario sans queue ni tête, plagiats d'idées (Matrix, ready player one, halloween) rendues grotesques dans leur réalisation.
123

Gautier G
10 abonnés131 critiquesSuivre son activité
0,5
Publiée le 31 août 2022
Ce film m'a paru beaucoup plus long que 2h. L'histoire est difficile à suivre et part dans tous les sens sans pour autant être prenant ou intéressant. Nous avons regardé jusqu'à la fin dans l'espoir que le film se termine sur quelque chose de compréhensible mais nous n'avons pas compris. Beaucoup de mal à comprendre l'engouement pour ce film. Je pense que le sujet principal le multiverse est intéressant mais tout était trop chaotique à mon gout.
7848
Les meilleurs films de tous les temps
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
FAQs
What is the main message of Everything Everywhere All At Once? ›
The central message is about the importance of kindness
Despite all the inter-dimensional weirdness, there's a genuine emotional pay-off to Everything Everywhere All At Once. In the film, the existence of a multiverse turns Evelyn and Joy into nihilists. If anything is possible, then nothing matters.
At the very last moment, Evelyn stops Jobu from killing herself by declaring her unconditional love for Joy. There is nothing she would choose over being with her daughter. And that resonates with Jobu. Jobu's destructive feelings are not so different from the ones that Joy secretly has.
What does the bagel represent in Everything Everywhere All At Once? ›The bagel represents everything the character holds dear: hopes, dreams, memories, and even mundane things like old report cards and personal ads. Topped with a mix of sesame, poppy seed, and salt, it physically embodies the character's innermost thoughts and desires.
What is the last scene in Everything Everywhere All At Once? ›Everything Everywhere All At Once ends with Evelyn heading to the IRS office to file her taxes with Joy, Waymond, and her father Gong Gong (James Hong).
Why did Evelyn stab Waymond? ›She blamed Waymond and distanced herself from him physically and emotionally. Then she inflicted the same disparaging judgment upon Joy, leaving Joy with more than a little trauma of her own.
Why did Waymond want a divorce? ›Waymond Wang is the tritagonist of the 2022 science-fiction action comedy film, Everything Everywhere All at Once. He is Evelyn's affable husband who co-owns the laundromat alongside her. He loves Evelyn deeply, but wants a divorce to force her to deal with their strained relationship.
What does Evelyn say to joy at the end of Everything Everywhere All at Once? ›Both the audience and Evelyn finally understand who Jobu really is when she says her spine-chilling Everything Everywhere All at Once quote about how “every version of Joy is Jobu Tupaki.” This means that everything Joy has felt across the multiverse, including "the pain" of having Evelyn as her mother, is somewhere ...
Did Joy go into the bagel? ›It is revealed that Joy is actually Jobu Tupaki, and she took on that identity when she was unable to find any meaning in any universe. She brings all that she has learned from her multiverse travels together and puts it on a bagel. It's a joke that an everything bagel literally contains everything.
What does Evelyn say to joy at the end? ›Once she reaches her daughter, Evelyn and Joy have an emotional conversation where they reconcile, with Evelyn telling Joy that she'll always want to be with her. With Evelyn and Joy's relationship healed, their regular life is restored and the multiverse battle is finally over.
What do the googly eyes symbolize in Everything Everywhere All at Once? ›The googly eyes come to represent the ability to enjoy life and be in the present moment. They're an affirmation that even if you accept the cosmic vastness of the universe, it's still possible to find meaning.
Is Everything Everywhere All at Once about mental illness? ›
Suddenly, the viewer comes face-to-face with a version of their own emotional pain as the movie's fantastical scenes give way to something far more relatable: an unexpected but masterful story about mental health. There's Joy's depression, a powerful current beneath her casual facade.
What is the bagel analogy? ›What is this? The circular shape of a bagel is a metaphor for the “circle of life” and the age-old adage “what goes around comes around.” As children, my brother and I would indulge in eating toasted onion bagels with butter, but as we have grown up, we have graduated to undeniably healthier veggie sandwiches.
Who is the villain in Everything Everywhere All at Once? ›Jobu Tupaki is the deuteragonist/main antagonist of the 2022 science fiction movie Everything Everywhere All at Once. She is the Alpha counterpart to Evelyn's daughter Joy Wang whose mind has been fractured into every possibility.
Will there be a sequel to Everything Everywhere All at Once? ›Unfortunately for those who have been waiting, the actress revealed that there are no plans to make a sequel for the film, despite the incessant insistence by fans.
Is Everything Everywhere All at Once about ADHD? ›Laura talks with film writer and editor Ariel Fisher about Best Picture winner Everything Everywhere All at Once and its many connections to ADHD. How making the movie was an ADHD “aha” moment for director Daniel Kwan. How the film itself feels like a depiction of the ADHD brain.
Why did Evelyn let Joy go? ›Evelyn once left her parents but could never find happiness because she constantly sought their approval. But, to respect her daughter's wishes, Evelyn says, “Okay”, and lets Joy go.
Why was Joy mad at Evelyn? ›Evelyn and Joy have a strained relationship and they argue about Joy's tattoos and whether she should come out to Gong Gong as he is elderly and curmudgeonly. Joy thinks her mom is using Gong Gong as an excuse and that Evelyn herself is really uncomfortable with her daughter's sexuality.
Why is Evelyn the chosen one? ›Alpha-Waymond chooses Evelyn to save the multiverse because she's “so bad at everything” that she's “capable of anything.” No other Evelyns could understand what the Everything Everywhere All at Once villain Jobu Tapaki was going through because their feelings of desolation were not as strong.
Do Evelyn and Waymond end up together? ›In Evelyn's universe, everything is set right, despite the difficulties of life. She and Waymond rekindle their marriage, Joy is happy to be with her family, and all together they are willing to face any challenge, even the IRS.
Did Evelyn divorce Waymond? ›When Evelyn is exposed to the Bagel enough that all of her multiverse selves are now acting self-destructive and cruel enough that one of them really goes through the divorce by signing the papers, Waymond is beyond heartbroken.
What are the Chinese characters at the end of everything everywhere all at once? ›
At the very end of the movie the title Everything Everywhere All at Once along with the Mandarin characters: 天马行空.
Why was Jobu looking for Evelyn? ›All along, Jobu had hoped for Evelyn to feel this burden. Jobu had previously traveled through the multiverse seeking out various Evelyns for exactly this reason. She hoped to find one who had the ability to experience—and thereby understand—her own suffering.
What does the ending of Hello Goodbye and everything in between mean? ›The short answer is that Clare and Aidan do break up… but they might get back together. Over the course of the romantic day that Aidan planned for Clare, it becomes clear that Aidan is hoping to convince Clare to stay together.
Who is Evelyn's daughter Everything Everywhere All At Once? ›Stephanie Hsu as Joy Wang, Evelyn's daughter; and Jobu Tupaki, Alpha-Evelyn's omnicidal daughter whose growing nihilism is a threat to the entire multiverse. Jenny Slate as Debbie the Dog Mom, a laundromat customer.
What is the meaning behind everything everywhere? ›The zany Everything Everywhere isn't merely a multiversal action-comedy, but a deeply personal family drama. The multiversal trappings are set pieces meant to highlight the true message — family, love, and finding joy in one's life are all that matter.
Who does Evelyn love? ›Evelyn goes to see Danny before he leaves. He admits to her that he is scared that she loves Rafe more then him. Evelyn assures him that she loves him and will be waiting for him to come home.
What did Evelyn decide to make her life? ›4. She never looked back from that point onwards. She toured the United Kingdom with a youth orchestra and by the time she was sixteen, she had decided to make music her life. She auditioned for the Royal Academy of Music and scored one of the highest marks in the history of the academy.
How did Evelyn respond to her deafness? ›On learning about her deafness due to gradual nerve damage, Evelyn Glennie, felt at first that her future was dark and bleak. However, instead of giving up, she decided to lead a normal life like other children and pursue her dream of learning music.
What is the third eye in everything everywhere? ›“Everything Everywhere All At Once” sets new standards for Asian representation. Evelyn Wang, played by Michelle Yeoh, places a symbolic third eye on her forehead in the form of a googly eye.
Why did Jobu Tupaki create the everything bagel? ›The literal answer is that Jobu Tupaki, bored by life and its lack of meaning, wanted to build something. Of course, that something ends up being an everything bagel. An object of worship that sits just behind the veil in Jobu Tupaki's shrine, the cosmic everything bagel swirls in place. It's an object and the void.
Who are the rocks in everything everywhere all at once? ›
But the Rock Universe—in which Evelyn and her daughter Joy (Stephanie Hsu) are, yes, rocks—also serves as the first moment that the two characters really connect, bonding over the nihilistic idea that, in the end, nothing really matters.
Did Evelyn have ADHD? ›If you aren't aware, Evelyn, the main character has undiagnosed ADHD, as does one of the directors and writers, Daniel Kwan (who discovered his diagnosis whilst researching for the film).
What is the mental illness where you think everyone is after you? ›Paranoia is the irrational and persistent feeling that people are 'out to get you'. The three main types of paranoia include paranoid personality disorder, delusional (formerly paranoid) disorder and paranoid schizophrenia.
What is it called when someone thinks they have every mental illness? ›People with illness anxiety disorder -- also called hypochondria or hypochondriasis -- have an unrealistic fear that they have a serious medical condition or fear that they're at high risk of becoming ill. They may misinterpret typical body functions as signs of illness.
How did bagel get its name? ›Its name derives from the Yiddish word beygal from the German dialect word beugel, meaning 'ring' or 'bracelet'.
What are the four analogies? ›These analogies can be divided into four principal types: species/language, organism/concept, genes/culture, and cell/person.
How much did Michelle Yeoh get paid for Everything Everywhere All At Once? ›It's been reported she was paid $70,000 per episode. For six episodes, that comes to a total of $420,000.
Is Joy evil in Everything Everywhere All At Once? ›Written and directed by Dan Kwan and Daniel Scheinert (known collectively as the Daniels), Everything Everywhere All at Once sets up Jobu Tupaki, the Alpha-Verse iteration of Joy Wang, as the central villain who is supposedly ready to destroy the multiverse.
Is everything everywhere all at once a masterpiece? ›'Everything Everywhere All at Once' is a modern masterpiece, but Hollywood could still learn all the wrong lessons from its success. Exactly a week after it swept the 95th Academy Awards, I had the privilege of getting to see Everything Everywhere All at Once again on the big screen.
What is the sequel to everything everything? ›Natasha and Daniel. This e-book collection contains Nicola Yoon's two captivating love stories: Everything, Everything, a #1 New York Times bestseller, and The Sun Is Also a Star, a #1.
Is everything everywhere all at once a nihilist movie? ›
Everything Everywhere All At Once is a movie about family and Nihilism. It's about the wounds that we inflict from one generation to another. And it's also about the crisis of meaning that is corroding our mental health as individuals and as a collective. The black bagel is the symbolic heart of the movie.
What is the message in everything everywhere all at once? ›The central message is about the importance of kindness
Despite all the inter-dimensional weirdness, there's a genuine emotional pay-off to Everything Everywhere All At Once. In the film, the existence of a multiverse turns Evelyn and Joy into nihilists. If anything is possible, then nothing matters.
Living with ADHD may give the person a different perspective on life and encourage them to approach tasks and situations with a thoughtful eye. As a result, some with ADHD may be inventive thinkers. Other words to describe them may be original, artistic, and creative. Being hyperfocused.
Do ADHD people think all the time? ›People in the ADHD world experience life more intensely, more passionately than neurotypicals. They have a low threshold for outside sensory experience because the day-to-day experience of their five senses and their thoughts is always on high volume.
Is everything everywhere all at once about mental illness? ›Suddenly, the viewer comes face-to-face with a version of their own emotional pain as the movie's fantastical scenes give way to something far more relatable: an unexpected but masterful story about mental health. There's Joy's depression, a powerful current beneath her casual facade.
What is the metaphor in everything everywhere all at once? ›Jobu says she took all her hopes, dreams and everything she cared for and put it on a bagel that collapsed like a black hole. This is a metaphor for what Joy has been doing to herself. The bagel represents the sum total of her life that she feels amounts to nothing.
Is everything everywhere all at once about ADHD? ›Laura talks with film writer and editor Ariel Fisher about Best Picture winner Everything Everywhere All at Once and its many connections to ADHD. How making the movie was an ADHD “aha” moment for director Daniel Kwan. How the film itself feels like a depiction of the ADHD brain.
What do the googly eyes mean in Everything Everywhere All at Once? ›The googly eyes come to represent the ability to enjoy life and be in the present moment. They're an affirmation that even if you accept the cosmic vastness of the universe, it's still possible to find meaning.
What does the third eye mean in everything everywhere all at once? ›Since the googly eyes resist the bagels, the googly eyes can be seen as representing existentialism — that is, the human pursuit to create meaning for themselves. As Everything Everywhere progresses, Evelyn sees the value of Waymond and his beliefs.
What is nihilism in everything everywhere all at once? ›It's called Optimistic Nihilism, or Existential Nihilism. Since there is no imposed purpose, we get to choose our own. There are no principles to live by, only the ones we decide on. Every mistake we've ever made and every moment of sadness and sorrow will one day disappear.
Why is everything everywhere all at once sad? ›
Everything Everywhere All At Once makes a clear statement about generational trauma and how clinical depression can stem from it. Seeing Evelyn eventually break that cycle and embrace her daughter correctly (and save her at the same time) is amongst the hardest I've cried all year.
Do people with ADHD have an all or nothing mentality? ›All-or-nothing thinking
Cognitive distortions in general are often associated with ADHD. For some, this manifests into all-or-nothing thinking, also known as 'splitting', or black-and-white thought patterns.